Le bel inconnu
Il est là. Assis sur ce banc, les yeux rivés vers la mer. Bien qu’il soit brun comme un Italien sur la Cote, on n’hésite pas : on le prend pour un Turc. Son teint cuivré, ses pommettes saillantes, ses yeux en amande évoquent aussitôt, aux méridionaux, des peuples plus exotiques. Au mieux, il passe…