La grande Sophie, « la place du fantôme » (Sophie qu’elle soit grande ou seule)
« Tout ce qu’il nous reste désormais, Chansons et mouchoirs en papier Le sort, Le destin ou la fatalité ; Que reste-t-il à déguster d’un corps Qui apprendra à se relever Quand la joie sera le collier de sa guitare » (« Peut-être jamais ») Si le mot « pudeur » n’avait pas existé,…