Playlist mars 2017
Décidément la chanson importante du mois de mars aura été « Did you really say no ? » d’Oren Lavie & Vanessa Paradis… Yes, I really say no and I don’t mean yes…
Deux chansons de Laura Marling qui a effectué un travail remarquable sur son album rock « Semper Femina » (décidément…). Deux chansons également d’Entrance bien que le disque m’ait déçue en fin de compte, mais que voulez-vous les ballades à violons et à choeur sont une faiblesse chez moi, ce que j’appelle les chansons à bagnole. Deux morceaux de Part Company dont j’apprécie le côté psyché ; à suivre. El Michels affair dans la même veine.
Elbow forever car notre madeleine à Virginie et à moi. Et elle reste toujours celle qui me dit « tout ira bien ». « She says it’s so gonna be magnificent ».
Frank Ocean forever. Kojey Radical et « Rent’s Due » que je trouve très bien foutu. Mendelson groupe français qui a fait un album de reprise très politique « Sciences Politiques » d’ailleurs et j’ai craqué total pour celle de Marvin Gaye « Inner City Blues » qui devient « Panique ».
IFÉ. Pas eu le temps d’écouter attentivement leur disque, mais la démarche est assez intrigante. Je cite « Ce son inédit, où les tambours plongent dans un bain d’électronique, nous vient de Porto Rico, une île qui n’a rien à envier à ses sœurs des Caraïbes (Cuba, Jamaïque, Trinidad, Guadeloupe, Martinique…) en matière de diversité musicale. » (Libé Next). Le retour de Future Islands : franchement je croyais que je me lasserais tant leur musique est identifiable et en fait non, c’est toujours aussi efficace. Manuela : je suis tombée dessus par hasard ; on se doutera que la symbolique du prénom (Manuela m’a particulièrement manquée la semaine dernière parce qu’elle aurait su, elle…) importe, mais la chanson me fait aussi marrer.
Albin de la Simone continue toujours de tracer son bonhomme de chemin avec élégance et constance. J’aime toujours une chanson d’Albin. Et puis pour finir Georges Harrison. « All Things Must Pass » est le vinyle de mes soeurs que j’ai le plus écouté pendant ma pré-adolescence. Il est ressorti remastérisé cette année. Ça était un disque qui a compté et combien il était prometteur ou lucide : oui, all things must pass, c’est ainsi.
Ma fille soupirant devant une pub tv de compil musique : « Ça yé, je suis vieille, je ne connais plus aucun tube de NRJ12 ».